
À la veille de la Paris Games Week 2025, l’effervescence monte déjà autour du stand d’EVA (Esports Virtual Arenas). Le pionnier français de l’esport en réalité virtuelle s’apprête à dévoiler en avant-première mondiale EVA KARTING GP, un jeu de kart électrique en VR qui promet de repousser une fois de plus les limites de l’immersion. Après avoir conquis plus d’un million de joueurs avec EVA Battle Arena et son extension horrifique EVA Moon of the Dead, le studio français revient avec un concept audacieux : une expérience multijoueurs où les joueurs, installés dans de véritables mini-karts électriques, s’affrontent dans une arène physique de 500 m² tout en évoluant dans un monde virtuel spectaculaire. Une prouesse technologique et ludique qui mêle vitesse, stratégie et adrénaline.
Cette nouvelle création s’inscrit dans la continuité de la vision portée par Jean Mariotte, Stéphanie Belle et William Klein, les trois fondateurs d’EVA. Depuis 2018, leur ambition reste inchangée : transformer le jeu vidéo en un véritable sport, où la performance physique et la compétition se vivent grandeur nature. L’entreprise française, désormais à la tête d’un réseau de plus de soixante salles dans neuf pays, s’est imposée comme le leader mondial des expériences en hyper free roaming VR, un format qui permet aux joueurs de se déplacer librement sur de vastes terrains tout en restant connectés à un environnement virtuel. Cette maîtrise du mouvement réel est au cœur d’EVA KARTING GP, une expérience qui marie sensations physiques et immersion numérique totale.

“Il existait déjà des expériences de kart avec projection au sol de l’environnement, mais la VR permet une réelle immersion et un champ des possibles incroyable. EVA KARTING GP est un rêve de gamer qui devient réalité”, explique Jean Mariotte, cofondateur et CEO d’EVA. Concrètement, les participants prendront place dans de véritables karts électriques reliés au système de jeu. Chaque virage, chaque accélération, chaque choc se ressent physiquement, tandis que les éléments du circuit — bonus, armes, pièges ou boosts — se matérialisent en réalité virtuelle. L’objectif est clair : proposer une compétition à la fois accessible et technique, capable d’unir familles, fans d’esport et passionnés de sensations fortes.
Le lancement officiel du jeu se fera pendant la Paris Games Week, mais EVA prépare déjà son déploiement à plus grande échelle. Le premier espace dédié ouvrira ses portes en janvier 2026 au sein du futur flagship EVA Paris-Est, à Montreuil, un lieu de 3 000 m² qui incarnera la vision globale de la marque. Ce centre intégrera deux arènes de 500 m², quatre pistes de fléchettes en réalité augmentée, un plateau TV, et une offre de restauration signée par le chef Poca, figure bien connue de la scène esport française. Ce flagship servira de vitrine internationale pour EVA, en réunissant sport, technologie et convivialité sous un même toit.

À terme, EVA KARTING GP rejoindra la gamme de jeux compétitifs d’EVA avec ses propres tournois, ligues et championnats. L’entreprise souhaite y intégrer la même approche que celle qui a fait le succès de la EVA League 1 et de la Coupe de France, des compétitions suivies en direct sur Twitch via la chaîne MGG_FR et attirant une communauté toujours plus passionnée. “Ce nouveau jeu va nous permettre d’accueillir une nouvelle cible de joueurs dans nos salles, mais nous conservons notre ADN esports, et il me tarde de voir les premières courses officielles sur EVA KARTING GP”, précise Jean Mariotte.
Ce que s’apprête à dévoiler EVA à la Paris Games Week dépasse la simple annonce d’un nouveau jeu. C’est une déclaration d’intention. Depuis sa création, la société a bâti une passerelle entre deux univers — celui du sport et du jeu vidéo — et ne cesse de redéfinir ce que signifie “jouer ensemble”. Avec EVA KARTING GP, Jean Mariotte, Stéphanie Belle et William Klein prolongent cette aventure 100 % française avec la même audace qui a fait leur succès : celle d’un rêve né d’un terrain de football imaginaire où l’on jouerait à Call of Duty, et devenu aujourd’hui un sport à part entière. Si le futur du jeu vidéo s’annonce collectif, immersif et physique, il se dessinera sans doute, demain soir, sur les circuits virtuels d’EVA.

(Source : communiqué de presse)