Disney - Le Résumé Décalé : le grand classique Disney du Roi Lion

Par Mulder, 18 août 2019

Cet été, de nouveau, les studios Walt Disney Studios Motion Pictures se sont de nouveau imposés avec un film d’animation de Jon Favreau (celui qui joue aussi dans Spider-man Far From Home et qui aime bien cuisiner dans son food truck), Le Roi Lion mais là je vais vous narrer l’histoire de la version originale de Roger Allers et Rob Minkoff (un pur chef d’œuvre des studios Disney)..

Il était une fois en Afrique (vous savez le pays où les animaux sauvages peuvent encore vivre en liberté) et plus précisément une contrée qui s’appelle la Terre des Lions (non Régis, aucun rapport avec les barres chocolatées), le roi Le Mufasa et la reine Sarabi et leur babysitter, un singe du nom de Rafiki (oui c’est un conte, les babysitters singes cela n’existe que dans la planète des singes..). Ce dernier avait convié tous les animaux du coin (une sorte de méga teuf mais sans DJ et sans rien à manger) pour présenter le fils du roi et de la reine, le jeune Simba.

Le Roi Mufasa est très proche de son enfant Simba et lui inculque des valeurs morales et surtout l’histoire de la vie (on vous conseille d’écouter la belle chanson d’Elton John à ce sujet). Mais dans l’ombre (En Afrique, à la vue de la chaleur c’est pas facile d’en trouver), le méchant frère de Musafa, Scar fomente sa vengeance et veut obtenir le trône (non Roger, pas les toilettes) et décide de piéger le jeune Simba en l’envoyant au cimetière des éléphants (belle chanson d’Eddy Mitchell sur ce lieu mais absente du film d’animation malheureusement). Attaqué par des hyènes (vous savez l’animal qui rit tout le temps), le jeune Simba qui avait embarqué dans son errance sa meilleure amie Nala (non Nala, pas Pala Getrude, essayez de suivre un peu au lieu de jouer avec votre téléphone) ne réussissent à se tirer de ce danger que grâce à l’intervention de Mufasa. Ce dernier fait la morale à Simba sur les dangers de la vie. Scar n’ayant pas réussi son piège, trouve une autre idée qui sera fatale au Roi Mufasa (bah il va y laisser sa vie) et qui amènera le jeune Simba à s’exiler (un peu comme Napoléon mais là il n’a pas eu de bateau pour aller sur une île)…

Persuadé par Scar que la mort de son père est de sa faute, Simba doit faire une croix sur ses projets avec Nala (oui les enfants, la vie ça fait mal comme un match de boxe, on prend des coups..) et grandit loin des siens (non Philippe, pas des chiens, des siens). Dans le désert, il va être sauver par l’équivalent de Laurel et Hardy, un gros phacochère et un suricate, Pumba et Timon (non Didier, pas des kit-kats, essayez de suivre un peu au lieu de racketter votre voisin). Ces trois exilés vont grandir ensemble pendant que Skar est devenu un vrai dictateur de sa contrée. Nala retrouve enfin Simba et ils tombent amoureux (oui Alain, même les animaux ont des sentiments, même ton poisson rouge qui tourne en rond dans son bocal sur ta table). Simba retourne alors sur la terre de son enfance pour affronter le féroce Scar, véritable responsable de la mort de son père (Katherine, arrête de pleurer, c’est une histoire qui finit bien pas l’exorciste, bon Dieu..). Grâce à l’aide de Rafiki qui lui montre que Mufasa est toujours présent via le reflet de Simba dans l’eau, et le support de Pumba et Timon et de Nala, ses jeunes aventuriers réussissent à mettre fin aux agissements de Scar et de ses hyènes.

Simba devient ainsi le Roi et Nala sa reine. A leur tour avec Rafiki ils présentent leur jeune enfant Kiara.
et voilà c’est fini les enfants, vous pouvez fermer votre cahier et demain en cours d’histoires du cinéma américain, on parlera d’une autre comédie romantique, Massacre à la tronçonneuse….

Ecrit par Boris Colletier (aka Mulder)